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BALTAR : Nobody's been tortured.
ROSLIN : Tell that to colonel Tigh.
BALTAR : Nobody has been tortured.
***
CHIEF: You were gonna hit the marketplace. The market? Full of civilians. This is crazy. You know, we need to figure out whose side we're on.
TIGH: Which side are we on? We're on the side of the demons, Chief. We're evil men in the gardens of Paradise. Sent by the forces of death to spread devastation and destruction wherever we go. I'm surprised you didn't know that.
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KARA: What's that?
LEOBEN: This is Kacey. Kacey, this is Kara. Your mother.
KACEY : Hi.
LEOBEN: Good girl.
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ADAMA: I know what you're saying. But we have a responsibility to the people that we left behind.
LEE: Remember what Roslin said: "Our first responsibility is to the survival of humanity." We can't lose sight of that. Over the last year, we've lost sight of almost everything. We got ...soft. But if we go back to New Caprica now, and we lose, it's over. Humanity just stops. And an Admiral's stars don't give you the right to make that gamble.
ADAMA : You're right, son. You should make plans to resume the search for earth with the Pegasus and the civilian fleet.
LEE: With Pegasus? What about Galactica?
ADAMA: I know why we left those people behind. And I know it was their choice in the first place to be down there. And I realize that the survival of the human race outweighs anything else. But this time... I can't live with it. Can't face it. Maybe I'm a coward. But I'm going back.
LEE: Dad, you won't have a chance.
ADAMA: I'm going back, son.
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TIGH: You know, sometimes I think that you've got ice water in those veins, and other times I think you're just a naive little schoolteacher. I've sent men o n suicide missions in two wars now, and let me tell you something. It don't make a Godsdamn bit of difference whether they're riding in a Viper or walking out o nto a parade ground, in the end they're just as dead. So take your piety and your moralizing and your high-minded principles and stick 'em someplace safe until you're off this rock and you're sitting in your nice cushy chair o n Colonial o ne again. I've got a war to fight.
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CALLY: Then frak you, Sharon, you stupid frakked-up toaster. How many times do I have to shoot you, anyway? If you can't help me, then just go away and leave us alone
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SIX : Sometimes you have to do things you hate so you can survive to fight another day.
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SHARON : Can I ask you a question? How do you know? I mean, how do you really know that you can trust me?
ADAMA : I don't. That's what trust is. Good hunting, Lieutenant.
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SHARON : Hey, Sam. Been a long time.
ANDERS : Funny. I feel like I see you every day.
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ZAREK :Tell me something, Laura.
ROSLIN : Hmm?
ZAREK: Last year?
ROSLIN : Mmm?
ZAREK : You tried to steal the election, didn't you?
ROSLIN, smiling ruefully: Yes, I did, Tom.
ZAREK laughing: Oh. I wish you'd gone through with it.
BALTAR : personne n’a été torturé.
ROSLIN : Allez dire ça au colonel Tigh.
BALTAR : Personne n’a été torturé !
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CHIEF : Vous voulez bombarder la place du marché ? Le marché ? C’est plein de civils. C’est de la folie. Vous savez qu’on doit décider de quel côté nous sommes.
TIGH : De quel côté nous sommes ? Nous sommes du côté des démons, chief. Nous sommes de mauvaises personnes dans le jardin du Paradis. Envoyés par les forces de la mort pour déverser la destruction et le malheur où que nous allions. Je suis surpris que vous ne sachiez pas cela.
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KARA : Qu’est-ce que c’est que ça ?
LEOBEN : Je te présente Kacey. Kacey, voilà Kara. Ta mère.
KACEY : Bonjour.
LEOBEN : Gentille fille.
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ADAMA : Je sais ce que tu vas me dire, mais nous sommes responsables de ceux que nous avons laissés derrière nous.
LEE : Rappelle-toi de ce que disait Roslin : « Notre première responsabilité est envers la race humaine et sa survie. » On ne peut pas perdre cela de vue. L’an dernier nous avons presque tout perdu de vue. Nous avons été… mous. Mais si nous retournons sur New Caprica maintenant, et que nous perdons, c’est terminé. L’humanité s’éteint. Et ton étoile d’Amiral ne te donne pas le droit de faire ce pari.
ADAMA : Tu as raison mon fils. Tu devrais planifier la recherche de la Terre avec le Pegasus et la flotte civile
LEE : Avec le Pegasus ? Et le Galactica ?
ADAMA : Je sais pourquoi nous avons laissé ces personnes derrière. Et je sais que c’était avant tout leur choix de descendre vivre là bas. Je suis bien conscient que la survie de l’espèce humaine est plus importante que tout le reste, mais cette fois… je ne peux pas vivre avec cela. Je ne peux pas l’assumer. Peut-être suis-je un lâche, mais je vais y retourner.
LEE : Papa, tu n’auras pas une chance.
ADAMA : J’y retourne Lee.
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TIGH : Vous savez, parfois il me semble que c’est du sang froid qui coule dans vos veines, et le reste du temps il me semble que vous n’êtes qu’une naïve petite maîtresse d’école. J’ai envoyé des hommes en mission suicides durant deux guerres, et croyez-moi, ça ne fait pas une grande différence qu’il meure en conduisant un viper ou en défilant au milieu d’une parade. A la fin, ils sont tout aussi morts. Alors gardez pour vous votre pitié, vos tirades moralisantes et vos hauts principes et trouvez leur un endroit sûr lorsque nous nous serons tirés de ce rocher et que vous serez de nouveau assise dans votre sympathique et confortable fauteuil à bord du Colonial One. Moi j’ai une guerre à mener.
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CALLY : Alors va te faire foutre Sharon, espèce de sale putain de grille pain. Combien de fois faudra-t-il donc que je te tues ? Si tu ne peux pas m’aider, alors barre toi et laisse nous tranquilles.
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SIX : Il faut parfois faire des choses que l’on déteste pour survivre et continuer à se battre.
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SHARON : Je peux vous poser une question ? Comment pouvez-vous savoir, je veux dire, comment pouvez-vous être absolument certain de pouvoir me faire confiance ?
ADAMA : Je ne le peux pas. C’est cela la confiance. Bonne chasse Lieutenant.
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SHARON : Hey, Sam. Ca fait longtemps.
ANDERS : C’est drôle, j’ai l’impression de te voir tous les jours.
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ZAREK : Dites-moi quelque chose Laura.
LAURA : humm ?
ZAREK : L’an dernier, vous avez essayé de truquer les élections n’est-ce pas ?
LAURA, réprimant un sourire : Oui, j’ai essayé Tom.
ZAREK : Oh, j’aurais aimé que vous réussissiez !
