Commentaire de James Callis sur la musique de la saison 4 - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
It would seem to me that most music on TV you don’t end up disseminating – you don’t end up craving, discussing with all and sundry as to how it affected you. It is very unusual in a drama for the music to be so compelling – compulsive – so signature. And BSG was not just another drama – but a Space Drama to boot!
Our show grappled with many issues – conflicts – ideas – and the music was the emotional, spiritual backbone to our production – in its nuance, its shades of triumph and dread, excitement and panic – companion ship, love, struggle, loss – it chronicled the bravery and the peccadilloes… the varied fortunes of the rag tag fleet.
Simply our show delved for answers into that essential conundrum “The Human Condition” and the exceptional music scored by Bear was the sea or soup of hope wherein flowed the bright eyes and dark hearts of those whom fate had cast to take the ride… powerful, potent, addictive, intoxicating stuff.
Get your ear – goggles ready and set for maximum impact! GO Bear! You rock! And of course – thank you, thank you to you and your incredible team.
James Callis “Gaius Baltar”
Il me semble que la plupart des musiques de séries télévisées ne s’achèvent pas en laissant en vous des idées prêtent à germer – elles ne vous laissent avec un besoin maladif de dire à n’importe qui combien elles vous ont touchées. C’est extrêmement rare que la musique d’un drama soit si fascinante– obsédante – si signée. BSG n’était justement pas juste un autre drama, c’était en plus de cela un drama qui se passait dans l’espace.
Notre série tournait autour de plusieurs grands problèmes/ conflits/ idées, et la musique était la colonne vertébrale émotionnelle et spirituelle de ce que nous produisions : par ses nuances, ses tonalités triomphales ou terrifiantes, d’excitation ou de panique, par la capacité qu’elle avait à exprimer la fraternité, l’amour, la lutte, la perte. Elle faisait la chronique des actes de bravoure comme des peccadilles… des destins variés de l’ensemble de la flotte.
Tout simplement, notre série creusait la question existentielle de la « Condition Humaine », et la musique exceptionnelle de Bear était l’océan d’espoir, ou le pétrin, où l’on trouvait les yeux brillants et les cœurs sombres de ceux dont c’était le tour… Quelque chose de puissant, magistral, addictif et grisant. (Toute mes excuses pour la traduction pitoyable de ces deux dernières phrases, mais je n’arrive pas à bien le tourner… si vous trouvez meilleure formulation, SURTOUT n’hésitez pas !)
Ouvrez vos oreilles grand comme des soucoupes et soyez prêt au choc ! Allez Bear ! T’es trop fort ! Et bien sûr, merci, merci à toi et à ton incroyable équipe.
James Callis « Gaius Baltar »